Louise Mey naît en 1982, apprend à lire et à écrire en CP et décide de ne plus s’arrêter. Elle publie des romans noirs et de la littérature jeunesse. Louise Mey tente de réfléchir aux dynamiques de pouvoir, de genre et de violence, et met tout cela dans ses livres. Avec un peu des blagues aussi, sinon c’est trop terrible.

Elle aime beaucoup la BD, les tartines et les vidéos de chiots. Elle a aussi écrit un seul en scène sur les règles (Chattologie) et pratique un sport de combat (le vélo à Paris).

Bibliographie 

Romans adultes

• Petite Sale – 2023 – Lattès-Le Masque
• La Deuxième femme – 2020 – Lattès-Le Masque
• Les Hordes invisibles – 2018 – Fleuve Noir
• Embruns – 2017 – Fleuve Noir
• Les Ravagé(e)s – 2016 – Fleuve Noir

« Essai »

• Chattologie, Courte conférence en gestion des flux – 2021 – Hachette

BD

• Kara – 1er Trimestre : Coquillettes & crustacés, dessin : Isabelle Maroger – MrPopcorn – 2019

Romans jeunesse

• L’orage qui vient, 2022, La Ville Brûle
• Mystère et Pyjama-chaussettes, illustrations : Eglantine Ceulemans – Nathan jeunesse – 2021

1-L’inconnu du 5ème étage – 2021
2-Les fantômes s’embrouillent – 2022
3-La créature du lac – 2022
4-Dans l’ombre de la sorcière -2023

• Sam et le Martotal, illustrations : Libon – La Ville brûle – 2020
• La Sans-Visage – L’École des Loisirs – 2020
• Le Jour du vélo Rouge, illustrations : Thorn – Lapin – 2019

Collectif

• Ceci est mon corps, ouvrage collectif, collaboration Rageot/ Causette – 2020

Revue de presse:

A propos de Petite Sale

« Si l’intrigue respecte les codes du polar, le récit vaut aussi pour la façon dont l’autrice l’utilise pour illustrer la hiérarchie des classes sociales et des genres dans une France où les femmes étaient toujours en bas de l’échelle.
Difficile de passer à côté. Pour les amateur-rices de roman noir, Louise Mey est désormais une référence incontournable. »
Causette

« Un roman puissant et ciselé, révélateur de la violence des rapports de domination de classe et de genre. »
Télérama

« La lutte des classes est d’abord celle des femmes. Cette conviction, Louise Mey nous la fait vivre avec son nouveau roman, Petite sale. »
Le Monde des livres

« L’écriture est sobre et puissante, la misère et le froid imprègnent chaque mot, ce qui n’empêche pas les éclats de lumière et d’amour. »
Libération