Aro Sáinz de la Maza (Barcelona, 1959) est auteur pour les jeunes et les moins jeunes. Il a également écrit des essais et il a été éditeur, traducteur et conseiller en narration de plusieurs auteurs.

Actuellement il s’est lancé dans la série de romans noirs consacrés à l’inspecteur Milo Malart. Le premier, El Verdugo de Gaudí, précédemment intitulé El asesino de La Pedrera (Le Bourreau de Gaudí, Actes Sud, 2014) a obtenu la mention spéciale du jury du V° prix international RBA du roman noir. El ángulo muerto (Les muselés, Actes Sud, 2016), le deuxième volume de la série, a été finaliste du Grand Prix de Littérature Policière 2017 dans la catégorie roman étranger. Le troisième volume, Dócil (Docile, Actes Sud, 2021) a obtenu le prix Meilleur Roman Noir Valencia Negra 2020, ainsi que le III prix Negra y Mortal Meilleur Roman Noir. Il est en cours d’écriture du quatrième volume.

Bibliographie française

• Le bourreau de Gaudi (El asesino de La Pedrera) Actes Sud/Actes Noirs (2014).
• Les muselés (El ángulo muerto) Actes Sud/Actes Noirs (2016).
• Docile (Dócil) Actes Sud/Actes Noirs (2021).
  

Revue de presse:

Le bourreau de Gaudi :

« Oubliez tout ce que vous savez sur Barcelone avant de lire ce livre. Une intrigue palpitante, doublée d’une critique acerbe de la société catalane, où les pressions politiques et la corruption semblent être une tradition locale. De la Maza nous fait découvrir l’envers du décor d’une ville connue de tous. Il y a quelque chose de pourri au royaume catalan nous dit-il dans cette enquête qui nous entraîne sur la piste du génial Gaudí, mais aussi des francs-maçons et des expropriations subies par les habitants, sacrifiés sur l’autel du tourisme. ».
Marc Fernandez. Métronews.

Les muselés :

« Une enquête sous tension, sous surveillance aussi car les élites intouchables ont le bras super long, et très bien ficelée, sur fond de régression sociale, un style tendu mais non dénué d’humour, noir bien sûr !  Aro Sainz De La Maza écrit un portrait de cette ville effrayant mais tellement juste qu’on est saisi, bouleversé même après avoir refermé le livre. »
Nyctalopes