Créé en 2011, le prix littéraire Violeta Negra Occitanie a pour vocation de mettre en lumière un roman noir ou policier traduit d’une langue du Sud (espagnol, italien, portugais, grec, arabe, turc…).
Cette année encore, la sélection fait le pont entre la Méditerranée et l’Atlantique à la découverte du Sud :
Une République lumineuse d’Andrés Barba, aux éditions Bourgois – Traduit de l’espagnol (Espagne) par François Gaudry
Le plongeur de Minos Efstathiadis, aux éditions Actes Sud (Actes Noir) – Traduit du grec (Grèce) par Lucile Arnoux-Farnoux
07.07.07 d’Antonio Manzini, aux éditions Denoël (Sueurs froides) – Traduit de l’italien (Italie) par Samuel Sfez
La mauvaise herbe d’Agustin Martinez, aux éditions Actes Sud (Actes Noir) – Traduit de l’espagnol (Espagne) par Amandine Py
Ceci n’est pas une chanson d’amour d’Alessandro Robecchi, aux éditions de L’Aube – Traduit de l’italien (Italie) par Paolo Bellomo avec le concours d’Agathe Lauriot dit Prévost
Je suis l’hiver de Ricardo Romero, aux éditions Asphalte – Traduit de l’espagnol (Argentine) par Maïra Muchnik
Le jury composé de libraires, de bibliothécaires, de journalistes et de membres de Toulouse Polars du Sud sera présidé par le toulousain Patrick Pavan, artiste peintre et sculpteur.
Le lauréat du Prix Violeta Negra Occitanie 2021 sera annoncé lors du salon d’octobre mais, en attendant, nous vous ferons découvrir peu à peu des chroniques consacrées à chacun des romans sélectionnés, dont nous vous conseillons la lecture.
Ce prix est décerné en partenariat avec la Région Occitanie.