Dror Mishani

Dror Mishani

Dror Mishani est né en 1975 à Holon (Israël). Il est traducteur et spécialiste de l’histoire du roman policier. Il vit avec son épouse et ses deux enfants à Tel Aviv. Il enseigne à l’Université de Tel Aviv.

En 2011 il crée son personnage récurrent, l’inspecteur Avraham Avraham dans le roman Une disparition inquiétante (Tik Needar). Il a avec cette série qui a été traduite en plus de 20 langues gagné les prix les plus prestigieux, en Israël et en Europe. Entre autres le Martin Beck award pour la traduction en Suède, le Grand prix des lecteurs du Point ou le prix mystère de la critique.
Quatre romans de la série sont aujourd’hui traduits en français, dont le dernier Un simple enquêteur (Emuna)a été publié en 2023 dans la série noire.

Ses romans ont également été adaptés en série en Israël, mais également en France et aux US.

 

Bibliographie française

Série Avraham Avraham

  • Une disparition inquiétante (Tik Ne’edar) Policiers Seuil (2014).
  • La violence en embuscade (Efsharut shel Alimut) Policiers Seuil (2015).
  • Les doutes d’Avraham (Haish sheratza ladaat hakol) Policiers Seuil (2016).
  • Un simple enquêteur (Emuna) Série Noire (2023).


Autre

  • Un, deux, trois (Shalosh) Série Noire (2020).

 

Revue de presse:

Un simple enquêteur :
« Dror Mishani s’amuse avec les codes, les héros et l’histoire du polar, notamment les références à Georges Simenon. Quant à ce roman, parti sur le doute intime mais qui finit par croiser les services secrets, leur violence et leurs coups tordus, il débouche finalement sur la sagesse d’un Avraham apaisé. Pour son plus grand bonheur et le nôtre ».
Nicolas Demorand (France Inter)

« Les polars de Dror Mishani sont d’une extrême délicatesse. Le récent Une deux trois peignait des portraits de femmes magnifiques tandis que Les doutes d’Avraham, plus ancien, donnait déjà à suivre les interrogations de ce policier subtil et humain. Un simple enquêteur poursuit cette fibre humaniste, mêlant l’esprit d’un Mankell (qu’il cite ici volontiers), avec cette fois, un rien de John Le Carré, à travers l’apparition supposée du Mossad. »
The killer inside me