Benoît Séverac

Benoît Séverac

Benoît Séverac a grandi aux pieds des Pyrénées et il est devenu toulousain à l’âge de 18 ans. Il a été tour à tour guitariste-chanteur, comédien, ouvrier saisonnier agricole, gardien de brebis sur le Larzac, restaurateur de monuments funéraires, vendeur de produits régionaux de luxe et de chambres « meublées » pour gros clients japonais, professeur de judo, photographe dans l’armée de l’air, serveur en Angleterre, clarinettiste dans un big band de jazz puis cofondateur d’une fanfare rock-latino-jazz… Il s’est formé à la dégustation de vin en Alsace, est diplômé du Wine and Spirit Education Trust de Londres et il enseigne aujourd’hui l’anglais à l’école vétérinaire de Toulouse ainsi qu’au Diplôme national d’œnologie. Il est cofondateur des Molars (association internationale des motards du polar). 

Il publie à la fois des romans noirs et policiers pour les adultes (à la Manufacture de Livres) et pour les ados. Certains ont été traduits aux USA ou adaptés au théâtre. Tous ont été primés.

 

Bibliographie française

Jeunesse :

  • Silence, Syros, 2012 
  • Le garçon de l’intérieur , Syros, 2013
  • L’homme qui dessine , Syros, 2014
  • Little sister, Syros, 2016
  • Une caravane en hiver, Syros, 2018
  • Le jour où mon père a disparu, Syros, 2020

 

Adulte :

  • Les chevelues, TME, 2017 puis 10×18, 2019
  • Rendez-vous au 10 avril, TME, 2018
  • Arrête tes six magrets, Poulpe, 2018
  • On peut pas faire ça à Guy novès, Court Circuit, 2016
  • Trafics, La manufacture, 2016
  • 115, La manufacture, 2017
  • Wazhazhe (co-écrit avec Hervé Jubert), Le passage, 2018
  • Tuer le fils, La manufacture, 2020
  • Skiatook Lake, (co-écrit avec Hervé Jubert), Le passage, 2021
  • La tableau du peintre juif, La manufacture, 2022

 

Revue de presse:

Tuer le fils :
« Dans ce polar psychologique haute couture […], la chaleur humaine alterne avec la noirceur et l’humour, et contraste avec la tragédie poignante de l’amour filial. »
Macha Séry. Le Monde.

« Haletant, plein de rebondissements et servi par une écriture fluide, ce roman est d’une remarquable efficacité, à même de séduire les amateurs d’enquêtes. Pourtant, l’intérêt majeur de ce polar est ailleurs. Il réside plutôt dans l’analyse psychologique des personnages et dans sa propension à écrire le journal intime d’un détenu qui utilise la création littéraire pour se libérer de ses traumas infantiles. »
Mickaël Mélinard, L’Humanité

Skiatook Lake :
« Un excellent polar aux allures de western moderne » 
Philippe Blanchet, Le Figaro.

Web:

Le Site de Benoit Séverac